L’univers associatif a beaucoup évolué ces dernières années mais le grand changement vient certainement du fait que les financeurs vont au delà de la simple remontée du bilan. Ils s'autorisent un « droit de regard » sur la bonne utilisation des fonds, sur l’impact social que les associations ont sur la société. Cela implique donc que ces dernières soient gérées comme des petites entreprises, tout en prenant en compte la complexité de coordonner des bénévoles souvent très investis et des salariés qui évoluent dans le cadre du droit du travail.
Cette cohabitation, dans l’intérêt même de la pérennité de la structure, ne peut se faire sans la mise en place d’une réflexion globale des ressources humaines, en prenant en compte à la fois les compétences des uns et des autres, la qualité des relations humaines et la stratégie à moyen terme de développement. Faire appel à une profil issu du monde de l'entreprise, c'est solliciter cette compétence de structuration et d’organisation ; certes, cela a un coût, mais cela permet surtout d’avancer sur des bases solides où chaque intervenant bénévole/salarié a sa place et est reconnu dans sa mission, avec un budget anticipé et maitrisé, au bénéfice premier de l'Association. Rencontrons-nous ! @Officemanagement.services
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